Un dramatique accident s’est produit dans un virage de la RD 918 reliant Hombourg-Budange à Dalstein, jeudi après-midi. Un motard, qui avait perdu le contrôle de sa moto dans une courbe vers la gauche, est décédé dans la nuit, ce vendredi matin, après avoir été opéré au CHR de Mercy.

L’accident reste inexpliqué pour les gendarmes de la communauté de brigades de Guénange en charge de l’enquête. Selon les indications apportées par un témoin, confortées par les premiers relevés techniques effectués sur les lieux, la victime, Yoann Senzani, un habitant de Dalstein âgé de 27 ans, connu pour rouler avec prudence, circulait à vitesse modérée lorsqu’il a subitement heurté la glissière de sécurité.

Les secours l’avaient pris en charge grièvement blessé mais conscient. Ils l’avaient héliporté vers l’hôpital où malheureusement son état de santé s’est subitement dégradé.

Le Républicain lorrain

Un automobiliste a percuté un arbre, jeudi soir à Huldange, avec son véhicule. Il a été tué. La victime, qui était seule à bord de la voiture, est âgée de 85 ans. Elle habite en Belgique.

Jeudi, vers 19 h, les secours ont été appelés dans la Stawelerstroos, à Huldange. Un accident venait d’avoir lieu. En arrivant sur place, les membres de la Protection civile et les sapeurs-pompiers ont découvert une berline encastrée dans un arbre. À l’intérieur, les équipes déployées sur place ont découvert une seule personne : le conducteur. Il était gravement blessé, malgré le déclenchement de l’airbag. Les efforts des urgentistes pour lui venir en aide ont été vains : l’automobiliste est décédé des suites de ses blessures, sur les lieux mêmes de l’accident.

La victime est un homme âgé de 85 ans, habitant en Belgique. La police a immédiatement ouvert une enquête pour comprendre les circonstances exactes de cet accident de la route mortel. Selon les premières constatations, le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule sur une chaussée qui était complètement détrempée par la pluie. La voiture a ensuite filé directement dans le décor et a percuté un arbre de front. Le choc a été très violent.

L’axe routier a été fermé le temps de permettre aux secours d’intervenir et aux policiers de mener leurs investigations.

Le Quotidien / L.D.

Ce jeudi matin, un ouvrier a été heurté par un engin sur le chantier des nouveaux bâtiments de RTL, au Kirchberg. Il est décédé sur le coup.

Ce jeudi vers 10h45, l’homme a été mortellement blessé sur un chantier situé près des futurs bâtiments de RTL, boulevard Pierre Frieden, au Kirchberg. Le conducteur d’un bulldozer s’est fait écraser après être descendu de l’engin. Cet ouvrier expérimenté est mort sur le coup.

Les circonstances de l’accident restent à préciser. Une enquête a été ouverte.

Le Quotidien

Une personne a été mortellement blessée ce dimanche matin à 8h20, percutée par un train sur la voie ferrée reliant Schifflange à Noertzange.

L’accident s’est produit à proximité du pont de l’autoroute A13.

Selon la police grand-ducale, aucune autre personne n’est impliquée dans cet accident. La circulation des trains a été interrompue jusqu’à 12h30.

Le Quotidien / S.A.

Samedi soir vers 22 heures, un automobiliste a perdu le contrôle de sa camionnette dans un virage à Weiler, près d’Hachiville, dans le nord du Luxembourg, percutant ensuite le mur d’une grange. Grièvement blessée, la victime est décédée à l’hôpital des suites de ses blessures. Les secours ont été assurés par les services de Troisvierges, Ettelbruck et Wincrange.

Le Quotidien

Outre la peine de prison, le parquet demande à ce que le trentenaire soit condamné à une interdiction de conduire de plus de 7 ans et à une amende.

Avant les réquisitions du parquet, c’était d’abord au tour du prévenu qui a fauché la policière le 5 juin dernier. Pendant près de 45minutes, le trentenaire poursuivi pour homicide involontaire a dû se soumettre aux questions du tribunal.

« Je ne me suis pas senti complètement ivre », affirme Pascal T. (36 ans). Ses souvenirs de l’accident survenu le 5 juin vers 1h30 ne vont pas beaucoup plus loin. Devant les juges, il a déclaré ne pas se rappeler avoir vu le bâton lumineux du policier, ni la voiture à l’arrêt. Il n’a pas pu livrer d’explication sur le fait que d’un coup il avait braqué à droite. «Cela a fait boum. L’airbag n’a pas explosé. Je pensais juste avoir touché quelque chose.» Voici comment, le prévenu décrit l’accident. Or lors de cette collision, il avait fauché la policière Yasmine Grisius en train de contrôler les papiers d’une automobiliste, route de Luxembourg à Dippach. Grièvement blessée, la mère de famille âgée de 39 ans avait succombé à ses blessures.

Au moment de l’accident, le trentenaire conduisait non seulement trop vite (60-61 km/h), mais il était également sous l’influence de l’alcool et du cannabis. Il était en récidive. Dans le passé, il s’était déjà fait arrêter à trois reprises en état d’ébriété. En 2014, il avait été condamné à un retrait de permis de 21 mois assorti d’un sursis intégral.

«Vous buvez, vous fumez du cannabis, vous roulez trop vite. À la fin, il y a une victime. Pourquoi avez-vous besoin de X fois jusqu’à ce que vous compreniez ?», a demandé, jeudi, la présidente de la 13e chambre correctionnelle, Sylvie Conter, à Pascal T. «C’est la plus grande erreur que je n’aie jamais faite», a-t-il répondu.

Lors de son passage à la barre, le trentenaire a promis plusieurs fois au tribunal de ne plus reprendre sa voiture. «Vous racontez qu’à partir de 2014 vous avez fait attention et que vous avez toujours pris un taxi quand vous aviez trop bu. Pourquoi le 5 juin ne l’avez-vous donc pas pris ?», l’a questionné Sylvier Conter. «Si seulement j’avais fait cela», a-t-il répondu. Comme la veille, le prévenu a indiqué être «terriblement désolé.»

L’avocat à sa défense, Me Marc Lentz, a soulevé que les faits et les reproches ne sont pas contestés. «Le fait que la policière soit décédée dans le cadre de son travail n’est toutefois pas une raison à ce que mon client soit plus sévèrement puni», a-t-il plaidé avant de demander que la peine prononcée reste en dessous de la peine maximale de 5 ans et qu’elle soit en partie assortie d’un sursis.

«Pas d’erreur de la part de Madame Grisius»

Dans son réquisitoire, le premier substitut, Guy Breistroff, a parlé de «faits très graves. Il était ivre, sous l’effet du cannabis et roulait trop vite». D’après le parquet, l’endroit pour le contrôle «était bien choisi», car la route était large et bien éclairée. «Il n’y a pas eu d’erreur de la part de Madame Grisius», a souligné le premier substitut. «Son collègue policier a fait des signes au conducteur avec le bâton lumineux. Le fait qu’il ne se soit pas arrêté est une infraction. Ensuite, il fonce dans la policière sans le réaliser. Et il s’arrête 97 mètres plus loin.»

Le premier substitut a également fait référence au grave accident du prévenu survenu en 2010. À l’époque, sa voiture s’était littéralement empalée dans les glissières d’acier au Kirchberg. «Qu’il ait survécu est incroyable. Malgré cela, il n’a rien appris.» Depuis, il souffre d’une invalidité à hauteur de 32%.

Le premier substitut a rappelé que la peine maximale encourue par le prévenu est de 5 ans. «La seule circonstance atténuante, c’est qu’il n’ait pas fait de délit de fuite», a-t-il retenu avant de requérir quatre ans de prison à l’encontre du prévenu. Il se rapporte à la prudence du tribunal pour ce qui concerne un éventuel sursis. Celui-ci ne devrait toutefois pas s’élever à plus de la moitié de la peine. Le parquet demande en outre une amende et une interdiction de conduire de plus de 7 ans, à savoir 14 mois pour l’alcool, 12 mois pour le cannabis et 5 ans pour l’homicide.

Me Pol Urbany, l’avocat des parties civiles, quant à lui, réclame 511 600 euros de dommages et intérêts pour les préjudices moral et matériel. Prononcé le 20 janvier.

Fabienne Armborst

Un dramatique accident de la circulation a coûté la vie à une femme de 49 ans, mercredi après-midi, dans le secteur de Bettembourg. Sa fille de 29 ans également à bord et grièvement blessée se trouvait dans un état préoccupant en début de soirée.

Il était environ 15h30 lorsque le drame est survenu sur le CR186, la route nationale reliant Bettembourg et Kockelscheuer.

Pour une raison encore inconnue, une petite citadine avec deux occupants a percuté un arbre de plein fouet et s’est littéralement enroulée autour.

Les victimes, une mère et sa fille, ont dû être désincarcérées. La conductrice, âgée de 49 ans, est décédée sur les lieux de l’accident et la passagère, âgée de 29 ans, a été admise à l’hôpital dans un état jugé « très grave », ont indiqué les secours venus de Bettembourg, Roeser et Luxembourg.

Le trafic fortement perturbé s’est fluidifié vers 19h, une fois la route rendue à la circulation.

Le pronostic vital de la jeune femme restait engagé en début de soirée, selon la police grand-ducale.

Le Quotidien

Le terrible accident survenu mercredi après-midi près de Bettembourg a fait une seconde victime. La passagère, dont la mère a perdu la vie sur les lieux du drame, est décédée durant la nuit.

En début de soirée mercredi, le pronostic vital de la jeune femme de 29 ans, admise à l’hôpital dans un état jugé très inquiétant, était engagé. La police grand-ducale a annoncé ce jeudi matin que la victime n’a pas survécu à ses blessures.

Sa mère, âgée de 49 ans, a perdu la vie la veille dans cet accident survenu entre Bettembourg et Kockelscheuer aux alentours de 15h30. C’est elle qui se trouvait au volant lorsque le choc s’est produit. La voiture a percuté un arbre de plein fouet et s’est enroulée autour.

Les circonstances du drame restent encore à déterminer.

Le Quotidien

Un Lorrain revenant du Grand-Duché est décédé vendredi sur l’A31 après que le taxi qui le transportait s’est arrêté sur l’autoroute, juste avant l’échangeur de Volmerange.

Pour quelle raison le taxi s’est-il arrêté ? En pleine nuit, sur l’autoroute ? Les premières auditions n’ont pas encore tout dévoilé. L’enquête menée par les CRS du peloton autoroutier devra mettre en lumière les circonstances de cet accident mortel qui a coûté la vie à Jérémy Bournon, originaire de Rodemack, gérant de la société Vins sur 20 de Yutz et habitant à Gandren, annexe de Beyren-lès-Sierck.

Qu’a-t-il pu se passer pour que le chauffeur décide d’interrompre sa course de la sorte ? Y a-t-il eu altercation, échanges de mauvais mots ? Un professionnel de la route, responsable du trajet commandé par son client, connaît bien les règles de survie sur l’autoroute et la durée de vie d’une âme en peine plantée sur la bande d’arrêt d’urgence : quelques minutes. Le chauffeur s’est-il senti menacé pour arriver à une telle extrémité ?

La portière arrachée

Autant de questions pour l’heure sans réponses, à mettre en miroir avec le déroulé des faits, plus concret. En l’espèce, un client qui commande depuis le Luxembourg un taxi pour l’amener en France, autour de 5h. Et qui se retrouve sur l’A31, après sa prise en charge. Le véhicule est stoppé. Le chauffeur ouvre sa portière, laquelle se fait arracher par un poids lourd.

D’après une source proche du dossier, le passager aurait quitté la voiture, « pas sobre, pas dans son état normal ». Selon ce témoin, le camion s’est arrêté et le conducteur s’est entretenu avec le chauffeur de taxi. Au retour de ce dernier, son client « aurait disparu ».

Un peu plus tard, à quelques dizaines de mètres du point d’impact, le corps du passager est retrouvé sur le terre-plein central. Le malheureux a été percuté par un poids lourd immatriculé à l’étranger.

Des analyses sont en cours pour déterminer s’il y a présence de produits stupéfiants et/ou d’alcool dans le sang des protagonistes de ce tragique événement qui a coûté la vie au jeune homme de 25 ans. Une enquête pour homicide involontaire démarre.

Emmanuel Correia (Le Républicain Lorrain)

Un ouvrier a trouvé la mort, ce lundi après-midi, sur un chantier de Luxembourg.

Le drame est survenu vers 14h, sur un site en construction au Limpertsberg. La victime était en train de travailler au niveau d’une façade extérieure lorsqu’elle est tombée. Avant d’être écrasée par un mur de béton entraîné dans sa chute. Les secours n’ont rien pu faire pour le malheureux, un Portugais de 39 ans, décédé des suites de ses blessures.

L’Inspection du travail et des mines, la médecine légale de la police judiciaire ainsi que les fonctionnaires de Luxembourg, sont restés longuement sur place pour établir les circonstances de ce tragique accident.

Le Quotidien

L’aiguilleur mis en cause dans l’accident de train survenu le 9 février en Allemagne, qui a fait 11 morts et 85 blessés, jouait sur son téléphone peu avant la collision.

Cet homme de 39 ans a été placé en détention provisoire lundi, un mois après son inculpation mi-février pour « homicide involontaire », « blessures involontaires » et « intervention dangereuse dans le trafic ferroviaire », a indiqué mardi le parquet de Traunstein. Onze personnes sont mortes dans ce choc frontal entre deux trains régionaux, survenu le 9 février vers 7h locales sur une ligne à voie unique entre Rosenheim et Holzkirchen, dans un bois situé à environ 60 km au sud-est de Munich. L’accident a également fait 24 blessés graves et 61 plus légers.

Le matin du drame, le suspect a « allumé son téléphone, lancé un jeu en ligne et joué activement pendant un long moment », qui s’est achevé « peu » avant l’accident, explique le parquet. L’enquête s’était rapidement orientée vers « l’erreur humaine » mais avec cette découverte, il ne s’agit « plus d’une erreur ponctuelle mais d’un manquement nettement plus grave à ses obligations ». L’aiguilleur a reconnu avoir joué en ligne mais « conteste avoir été distrait » de sa tâche au point d’en oublier de réguler le trafic, précise-t-on de même source.

Selon le parquet, il a commis une série de fautes en laissant passer sur un tronçon à une voie l’un des deux trains impliqués dans l’accident, qui était en retard, désactivant au passage le système de sécurité qui aurait dû déclencher un freinage automatique. Il s’est ensuite trompé en manipulant les touches de son clavier, empêchant les deux conducteurs d’entendre son appel d’urgence.

Un dramatique accident de la route s’est produit dans la nuit de mercredi à jeudi à Trieux, à côté de Briey. Une maman et son petit garçon ont trouvé la mort.

Deux victimes, une maman et son enfant. C’est le terrible bilan de l’accident de circulation survenu dans la nuit de mercredi à jeudi, à Trieux. Le drame s’est joué peu avant minuit, rue Marc-Raty, au centre de cette localité située près de Briey. Arrivant en provenance d’Audun-le-Roman, la conductrice a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore indéterminée. La Clio est allée heurter l’angle d’un bâtiment abritant une boulangerie avant d’être renvoyée au milieu de la chaussée.

Sur place, les sapeurs-pompiers de Trieux-Tucquegnieux n’ont rien pu faire pour les deux occupants de la voiture, réduite à l’état d’épave. « Ils ont été tués sur le coup » explique le capitaine Bucci. La maman, née en 1993, résidait à Jarny. Son enfant, lui, était né en 2012.

La gendarmerie de Mercy-le-Bas était sur place, pour effectuer les constatations d’usage et réguler la circulation.

Cédric Brout (Le Républicain Lorrain)

Un terrible accident est survenu jeudi soir, sur la route de Mersch. Un homme a perdu la vie. Vendredi, le ministre François Bausch a dit vouloir installer un radar fixe à cet endroit.

Vers 21h45, un automobiliste qui circulait en provenance d’Angelsberg en direction de Mersch (CR118) a percuté un arbre.

Les secours venus de Lintgen, Mersch et Luxembourg n’ont hélas rien pu faire.

Le choc a été si violent que le conducteur, seul à bord, est décédé sur les lieux de l’accident.

Vendredi matin, le ministre François Bausch a réagi à ce drame, dont les circonstances restent encore à préciser.

Il a chargé l’Administration des ponts et chaussées de prendre des mesures dans les plus brefs délais, à savoir :

– renforcement de la signalisation existante et mise en place de signaux d’avertissement supplémentaires dès ce vendredi 6 mai
– installation de glissières de sécurité sur le tronçon dès lundi 9 mai
– mise en place d’un radar fixe dès 2017

Les responsables de la police grand-ducale, sollicités par le ministre, ont confirmé un renforcement immédiat des contrôles de vitesse par radars mobiles. Ceci en attendant la mise en service du radar fixe.

Le Quotidien

Un dramatique accident de la circulation a coûté la vie à un septuagénaire, ce mercredi après-midi sur la N19.

Le drame est survenu peu avant 15h entre Bettendorf et Reisdorf, à hauteur de la commune de Moestroff.

Pour une raison indéterminée, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule dans un virage avant de percuter un arbre de plein fouet.

Malgré un important dispositif de secours déployé, la victime est décédée sur place.

L’homme, qui se trouvait seul à bord, était âgé de 79 ans et résidait à Beaufort.

Le Quotidien

Un ouvrier est décédé à la suite d’un accident de travail survenu jeudi matin, sur le site l’entreprise Cimalux à Rumelange.

Le drame est survenu peu après 8h. La victime, un homme âgé de 59 ans et originaire d’Hagondange en Moselle, était en train d’effectuer une manœuvre lorsqu’elle a chuté dans un broyeur de la cimenterie.

Les pompiers de Kayl et Rumelange ainsi que le Samu d’Esch-sur-Alzette sont intervenus mais n’ont rien pu faire pour sauver l’ouvrier, décédé sur les lieux.

Une enquête a été ouverte. Les services techniques de la police et de l’Inspection du travail et des mines se sont rendus sur place afin d’effectuer les investigations d’usage.

Le Quotidien

Le 23 mars 2011, vers 17h40, un motard de 54 ans avait trouvé la mort dans une collision avec une camionnette entre Mertert-Wasserbillig et Grevenmacher au niveau du croisement avec la bretelle de sortie de l’autoroute A1.

Jeudi matin, le tribunal correctionnel a condamné le conducteur de la camionnette à une interdiction de conduire de 18 mois et à une amende de 1 500 euros. Le parquet avait requis trois mois de prison avec un éventuel sursis, une interdiction de conduire de 24 mois et une amende à l’encontre du prévenu. «Le prévenu est seul responsable de l’accident. Il avait un panneau stop. Il aurait dû s’assurer qu’aucun autre véhicule n’arrivait», avait dit la représentante du parquet.

À la barre, le prévenu de 36 ans avait affirmé avoir respecté l’arrêt au panneau stop et avoir regardé plusieurs fois à gauche et à droite et d’avoir laissé passer une colonne de voitures avant de s’engager dans le croisement. Mais le motocycliste derrière la fourgonnette, il ne l’avait pas vu. Quand il l’avait aperçu, il était déjà trop tard, il n’était plus en mesure d’éviter la collision.

À noter que le croisement dangereux a entretemps été réaménagé avec des feux.

Fabienne Armborst

Après l’effroyable accident qui a coûté la vie à deux personnes et fait un blessé grave, dimanche matin au rond-point Raemerich d’Esch-Belval, l’heure est au renforcement de la sécurité routière à cet endroit.

Deux passagers ont été tués sur le coup dans ce dramatique accident, qui semble dû à une vitesse excessive. Le conducteur, âgé de 21 ans, a dû être héliporté dans un état grave et son pronostic vital était engagé.

La Sécurité Routière Luxembourg a aussitôt sollicité une rencontre avec le ministre du Développement durable et des Infrastructures afin d’évoquer les dispositifs à mettre en œuvre dans ce secteur.

Le rond-point Raemerich, à la sortie de l’autoroute A4, est en effet le lieu d’accidents fréquents. Car bien que la vitesse soit limitée à 50 km/h avant d’aborder du giratoire, nombreux sont les automobilistes qui ne lèvent pas le pied et arrivent à vive allure. Dimanche, après le drame, une riveraine excédée par ces comportements a déposé une pétition publique sur le site de la Chambre des députés (rôle n°683) en réclamant « une solution ».

Du côté du ministère comme de la Sécurité routière, on se dit encore « abasourdis par l’extrême violence du sinistre ». Au cours de leur entrevue lundi matin, les deux parties ont convenu de l’urgence à ce que « des mesures adéquates soient prises rapidement ». Parmi ces mesures, un radar fixe devrait être installé dans les prochains mois et des glissières de protection posées, indique l’Asbl dans un communiqué.

Le Quotidien

L’autoroute A13 a été le lieu d’un terrible accident, ce samedi matin : un motard âgé de 47 ans a perdu la vie.

Le drame est survenu peu avant 10h entre Frisange et Hellange, d’après les secours sur place (centres d’intervention de Bettembourg et Frisange). La Police grand-ducale a confirmé l’information vers 11h via son compte Twitter.

#Tödlicher Unfall. A13 Frisange Richtung Hellange. 47-jähriger Motorradfahrer aus Frankreich stirbt bei Unfall.

— Police Luxembourg (@PoliceLux) 9 juillet 2016

Les circonstances de l’accident ont été précisées vers 12h30 par la police. La victime, originaire de France, circulait derrière trois autres motards. A environ deux kilomètres du rond-point d’Hellange, le quadragénaire a perdu le contrôle de son deux-roues et a alors percuté le mur californien de plein fouet, passant par-dessus et heurtant violemment un panneau de signalisation. L’engin a continué de glisser sur une centaine de mètres.

Grièvement touché à la tête, le motard a succombé à ses blessures sur les lieux du drame. Le reste du petit groupe, en état de choc, a été pris en charge par le groupe de soutien psychologique.

La portion d’autoroute concernée devait rester coupée à la circulation durant plusieurs heures, ont indiqué les forces de l’ordre.

Le Quotidien

L’A31 a été coupée jusque dans l’après-midi ce vendredi, entre Metz et le Luxembourg, après l’accident mortel survenu en matinée à hauteur de Mondelange. Les routes secondaires ont très vite été encombrées à leur tour.

De mémoire de Lorrain on a jamais vu ça, à part les jours de neige quand un match de foot est annulé à la dernière minute à Saint-Symphorien…

Des kilomètres de bouchons se sont formés après le drame qui a coûté la vie à une jeune hagondangeoise de 24 ans, dont le véhicule a été broyé entre deux poids lourds. Pour permettre aux secours d’intervenir, l’autoroute a dû être coupée en direction du Luxembourg. Un blocage qui aura duré six heures.

Du coup, les travailleurs frontaliers pris au piège ont bifurqué sur la D1, via la sortie Talange, afin de rallier Guénange puis reprendre le chemin du Grand-Duché par Thionville. Une route que de nombreux automobilistes essayaient d’emprunter en désespoir de cause, alors que les Hollandais et les Belges de retour du Sud de la France restaient bloqués sur l’A31 faute de connaître les itinéraires bis.

Ça roulait un petit peu mieux que sur l’autoroute, mais ça restait très poussif…

Hubert Gamelon

L’enquête ouverte après la mort mardi à Marseille d’un membre d’équipage sur le plus gros paquebot du monde, l’Harmony of the Seas, s’oriente vers la piste d’une « erreur humaine », a déclaré mercredi le procureur de la République.

Un canot de sauvetage de l’Harmony of the Seas, en escale mardi à Marseille, s’était décroché pendant un exercice de sécurité et a fait une chute brutale de 10 mètres, tuant un membre d’équipage, un Philippin de 42 ans, et en blessant quatre autres.

Les premiers éléments de l’enquête, menée sous l’autorité du parquet de Marseille, n’ont pas permis de déceler de « défaillance matérielle », a précisé le procureur, Xavier Tarabeux. Les enquêteurs cherchent désormais à déterminer si des fautes ont pu être commises dans l’utilisation du matériel. Des auditions « sont en cours », a précisé le magistrat.

Jusqu’à nouvel ordre, l’Harmony of the Seas, qui devait initialement reprendre la mer mardi soir en direction de l’Italie, reste au port de Marseille, pour les nécessités de l’enquête.

AFP